L’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco) va former à Dakar, au Sénégal, les journalistes de la région Afrique. Un centre de formation sera créé au sein du Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti) de l’Université Cheikh Anta Diop.

Le centre de formation contribuera à « faire connaitre l’islam et sa civilisation pour renforcer le rôle des journalistes », selon les termes du chef du centre d’information et de communication de l’Isesco, Mahjoud Ben Said.

Le centre de formation créé au sein du Cesti sera le support à la série de conférences que l’Isesco a lancée dans le cadre de son plan de communication 2016-2018. L’enjeu est de renforcer les capacités des journalistes des Etats membres afin de corriger les idées portant atteinte à l’islam et aux musulmans en Afrique.

Des étudiants de l’Université de Berne en Suisse sont attendus mercredi à Mbour (ouest) pour une visite de travail qui s’inscrit dans le cadre de la coopération qui lie l’Association pour la promotion et la responsabilisation des acteurs de la pêche artisanale de Mbour (APRAPAM) avec les institutions et organisations nationales et internationales.
‘’[...] En ce qui concerne notre association, ce genre de rencontre permet de faire des échanges d’expériences avec ces organisations, d’une part et, d’autre part, de permettre à ces dernières de découvrir les réalités de la pêche artisanale et autres facettes socioculturelles du secteur avec les contacts qu’ils ont avec les acteurs professionnels’’, explique un communiqué.

Éventuellement, cette visite pourrait être l’occasion de nouer des liens de partenariat et/ou de collaboration à travers des activités visant à améliorer les conditions d’existence et de travail

L’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ, sud) va intégrer, pour l’année académique 2016-2017, un master en Droit international humanitaire (DIH) en vue de former des ressources humaines de qualité capables de mener une action humanitaire dans des zones comme la Casamance, a déclaré mercredi son recteur, Courfia Kéba Diawara.

‘’Quand on connaît le conflit de la Casamance et les enjeux de stabilisation pour l’instauration d’une paix durable dans la zone, il est important de former des ressources humaines de qualité qui vont s’atteler à cette mission’’, a notamment dit M. Diawara.

Le Sénégal a finalisé la mise en œuvre du protocole DNS (Système de noms de domaine), à travers le NIC-Sénégal, structure en charge de la gestion des noms de domaine en ‘’.sn’’), indique un communiqué parvenu à l’APS.

‘’Après le Maroc (février 2016) et Madagascar (février 2016), le Sénégal est ainsi le troisième pays africain à achever cet important processus au cours de l’année 2016’’, note le texte.
 
Il précise qu’’’actuellement, près d’une quinzaine de pays africains ont finalisé la mise en œuvre du protocole DNSSEC (Domain Name System Security Extensions)’’.
 
Il souligne en outre que ‘’la sécurité de tout système dépend à la fois de la sécurisation de ses différentes composantes et des interactions entre celles-ci’’. ‘’Ce constat est aussi valable pour le DNS (Domain Name System),

Le CESTI (centre d’études des sciences et techniques de l’information) de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) va abriter un centre régional pour la formation des journalistes de la région africaine, aux termes d’un accord de coopération signé avec l’ISESCO, l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture.

Le chef du centre d’information et de communication de l’ISESCO, Mahjoud Ben Said, en a fait la révélation, lundi, à Dakar, à l’ouverture d’un atelier régional sur "l’utilisation des médias africains dans la promotion du dialogue et de l’échange culturel".

La présidente du Haut Conseil du dialogue social, Innocence Ntap Ndiaye, a appelé mercredi à Dakar les différents acteurs à travailler à ‘’redorer le blason’’ de l’université sénégalaise, devenue selon elle ‘’un théâtre de bataille’’.
‘’Aujourd’hui, chacun veut aller étudier à l’extérieur, moi j’ai toujours été partisane des études au Sénégal. C’est de dire qu’il nous faut redorer le blason de l’université qui est aujourd’hui devenue un théâtre de bataille’’, a notamment indiqué Mme Ndiaye, invitée de la rédaction de l’APS.
‘’On doit pacifier l’espace universitaire. Il faut renforcer les capacités des acteurs’’, a poursuivi Mme Ndiaye, ancienne ministre d’Etat sous le régime du président Abdoulaye Wade (2000-2012).
Elle a indiqué que les universités sénégalaises comptent ‘’de bons professeurs’’, rappelant avoir connu de ‘’brillants’’ universitaires.